La Sûreté de l’État a détecté un risque de menace chez 125 demandeurs d’asile l’an dernier
Il peut s’agir d’espionnage, de prolifération d’armes nucléaires, de sectes nuisibles, de radicalisme ou de terrorisme.
La Sûreté de l’État a détecté l’an dernier un risque de menace auprès de 125 demandeurs d’asile après les avoir screenés, rapporte De Tijd jeudi. Il peut s’agir d’espionnage, de prolifération d’armes nucléaires, de sectes nuisibles, de radicalisme ou de terrorisme. Le nombre de résultats positifs est relativement réduit au vu des 18.268 demandeurs d’asile qui ont été screenés par la Sûreté de l’Etat en 2017.
Par ailleurs, un résultat lors du croisement de bases de données peut signifier beaucoup de choses, car le lien avec une menace peut être indirect. Sur les 125 résultats obtenus l’an dernier, 35 relevaient de radicalisme ou de terrorisme. Chaque irrégularité concernant un demandeur d’asile est transmise à l’Office des étrangers. Leur nom est également communiqué à tous les services engagés dans la lutte contre le radicalisme.
Belga