Des chiffres qui s’expliquent notamment par le fait que la qualité de chauffage et d’isolation des bâtiments est plus faible à Bruxelles que dans le reste du pays.
Selon une nouvelle étude du Forum bruxellois de lutte contre la pauvreté – relayée par nos confrères de Sudpresse – 20% des Bruxellois sont touchés par ce qu’on appelle la “précarité énergétique”. Elle se définit comme la difficulté des ménages à payer leurs factures d’énergie (électricité, gaz,…) avec, pour conséquence, une limitation de leur consommation quitte à faire face à quelques problèmes de santé.
D’après le quotidien, qui détaille les résultats de l’étude, 10% des ménages de la capitale “se forcent à limiter leur consommation d’énergie”, ce qui est 3 à 5 fois plus qu’en Flandre ou en Wallonie. Cela s’explique par le fait que la précarité énergétique touche plus les locataires que les propriétaires, plus nombreux à Bruxelles. En outre, ils sont 13% à dépenser “beaucoup trop” pour leurs factures d’énergie.
Des chiffres qui s’expliquent notamment par le fait que la qualité de chauffage et d’isolation des bâtiments est plus faible à Bruxelles que dans le reste du pays.